Visite de Tsubasa

Nori avait traverser le parc du pensionnat, et s'était engagé avec Tsubasa sur une petite route de campagne plutôt vieille et habimées, elle était faite de pavé et par le froid et les année les pierres s'étaient polies et était devenues glissante. Le paysage n'était plus si défavorisé, maintenant quelques prés et des petites vache apparaisait, ainsi qu'un petit village, si Nori n'y avait pas déjà été, elle aurait cru qu'il était abandonée...
5 minutes plus tard Nori et Tsubasa dépasére le panneau confirmant leurs arriver. C'était un village plutôt triste, mais qui avait du avoirs un passé plutôt glorieux, les bâtises pour la plupart avait été pélie ou détruite par la guerre, seulement quelques maison avait été rénové. Nori savait que le vrai village n'était pas là et continua son chemin. Elles arrivèrent enfin dans le véritable village, neuf, beau, gai... L'opposé du village en ruine.

"Voila le nouveau village, mais non n'avait pas l'autorisation d'aller plus loin"

Alors elles firent demi-tours, et retournère dans le village miteux, Nori tourna dans une ruelle, et arriva, en fait, dans un jolie quartier, rénové et à l'ancienne, dans cette rue, se trouvait la boulangerie, et comme Nori avait un peu faim, elle s'approcha de la boutique remplie de monde....

"Cette boulangerie est trés vielle elle à été ouverte peu avant l'ouverture du pensionnat, ou plutôt des deux pensionnat, les recettes sont transisme de père en fils, et... Comme tu peux le contaster elle rend la ville un peu plus gai, car tout les gens y vont, les touristes.."

Elle ouvrit la porte de la vielle boutique pourtant rénové, et admira tout les gateaux différents, les glaces malgrés le temps, les viennoiserie, et l'odeur si douce....

"Que veut-tu ??"

Invité

Nori emmena Tsubasa en dehors du pensionnat. Celle-ci remarquait que le décor changeait petit à petit. Elle observa des vaches et leurs petits brouter dans l'herbe verte foncée et elle aperçut le petit village qui n'était qu'a quelques minutes du pensionnat. Le village n'était pas en très bon état. La plupart des maisons étaient délabrées ou détruites et que quelques unes en bon état. Elle continua avec Nori qui lui montra le vrai village. Gai, beau et illuminé de soleil tandis que l'autre était triste et sombre. Pourquoi personne ne rénovait ce village ? Faute d'argent ?
Nori dit à Tsubasa qu'elles ne pouvaient pas continuer plus loin. Tsubasa s'en ficha un peu, elle préféra visiter le village triste que le village joyeux. Si plus personne ne venait dans le vieux village, qui aidera les habitans à survivre ? Surement personne...appart des riches pour montrer qu'ils sont généreux juste pour faire bonne impression.
Nori emmena Tsubasa jusqu'a la boulangerie du petit village. D'après Nori. les recettes sont transmises de père en fils. Dans cette partie du quartier, on y voyait plus de monde. Surement à cause de la boulangerie ou d'autres petits commerce qui essayait, peut-être, de redonner la gloire de leur ville passée. Les deux jeunes filles entrèrent dans la boulangerie. Tsubasa sentit une bonne odeur de pain, ce qui réveilla son estomac, qui commença à grogner. Nori lui demanda ce qu'elle voudrait et Tsubasa lui répondit doucement :

" Je veux bien un pain au chocolat, s'il-te-plaît. "

Dans la vitrine du petit magasin, on pouvait y voir des gâteaux de toutes sortes et toutes formes. Carré, rond, même en forme de coeur. Ils étaient rose, noir, blanc, bref, presque de toutes les couleurs. Tsubasa observait la petite boulangerie avec gourmadise...

Nori, conclu grâce à la réponse de Tsubasa, qu'elle acheterais deux pain au chocolat, et un petit gateau.
Elle entra dans la banlangerie et attendis son tours, les gens se précipitait, criai, pousser... Bref l'attente était insuportable.
Enfin une des serveuse se proposa, après plusieurs efforts pour que celle-ci la comprenne, elle prit enfin les deux pains au chocolat et les mis dans un sachet, elle lui demanda qu'elle sorte de gateau, Nori opta sur un gateau allechant qui était disposée dans un coin de la vitrine.
Puis tout se passa en une seconde, un homme corpuleux ayant une drôle de démarche, s'écria :
"DES ELEVES DE KEMURI !!"
La serveuse, dut si surprise de la réaction de l'homme, qu'elle fit tomber le gateau par terre, qui se splacha completement sur le sol si propre, lui qui était si blanc, était devenu presque rose/rouge.
Pris de panique certains clients, sortirent à grand pas de la boulangerie... C'étaient des touristes. Les clients habituelles eux en voyait souvent et donc ne furent pas paniquée.
Nori et Tsubasa était dans l'uniforme du pensionnat et donc reperable. Mas Nori décida d'aider la jeune serveuse...
Puis l'homme corpulent, lacha...
"Vous voyez cte pensionnaire porte malheur" en cracha presque par terre, et en montrant l'ex gateau.

Invité

La queue était longue, très longue et bruyante. Tsubasa commençait à fatiguer. Nori avait choisi d'acheter deux pains au chocolat et un gâteau. Soudain un homme cria dans la boulangerie :

"DES ELEVES DE KEMURI !!"

Tsubasa se demandait si il avait un problème dans la tête ou quoi... La serveuse qui servait Nori, fut surprise et fit tomber le gâteau. Quelques clients partirent et d'autres restèrent.

L'homme continua avec ses propos débiles :

"Vous voyez cette pensionnaire porte malheur"

Tsubasa furieuse, se dirigea vers l'homme corpulent.

" Ca va pas ou bien ? Vous êtes en train de dire que mon amie porte malheur ? Et puis vous, si vous n'étiez jamais arrivé ici, le gâteau ne serait pas tomber et les clients seraient resté ! Alors gardez vos propos pour vous ! "

Elle le regardait avec des yeux furieux, elle avait de la chance que son oeil bleu n'était pas visible, ça aurait pu compliquer l'affaire.

L'homme n'osa plus insister et partit en courant.

" Cela arrive beaucoup ce genre d'incident, Nori ? " dit Tsubasa...

" Plus que tu ne le crois, ma jolie! "

Une voix claire et chantonnante avant sonné dans l'air sans être conviée, donnant à la question de la demoiselle une réponse claire et simple. Une jeune fille vêtue d'un long manteau bleu marine foncé qui s'accordait avec perfection à ses yeux d'un bleuté profond, s'approcha alors des deux autres demoiselles avec un sourire. Ses longs cheveux noirs firent un mouvement souple lorsqu'elle inclina la tête en signe de bonjour à l'une des vendeuse qui lui rendu sa salutation avec un petit sourire crispé, du à la fuite des clients. Elle s’arrêta alors près des deux jeunes filles et les observa rapidement. Toutes deux plus petite qu’elle, l’une arborait de longs cheveux blonds et l’autre noir. Toutes deux portaient l’uniforme de Kemuri et s’étaient elles, pauvres demoiselles qui n’avaient rien demandé, qui avaient provoqué se mouvement de foule. Mori sourit.

" Ah, excusez-moi ! Je vous ai répondu à la question sans avoir été conviée. Je me présente, je suis Mori, Mori Ankoku. Enchantée. "

Elle s’inclina légèrement puis, toujours souriante, ouvrit d’un mouvement sec son manteau. Le vêtement ainsi ouvert laissé entrevoir un bel uniforme noir et blanc, pareil que celui que portaient les deux demoiselles. Un uniforme qui effrayait les foules, un uniforme signé Kemuri Black.

" Je suis de Kemuri Black aussi ! Et vous, pas la peine de vous en poser la question! Les touristes sont sortit si vite qu’on aurait cru qu’il y avait le feu! "

Elle rit un peu. Se genre de situation, elle le prenait maintenant souvent à la dérisoire. Cela lui était si souvent arrivé qu’elle s’y était presque habituée, et c’était pour ça qu’elle portait un long manteau. Pas d’uniforme, pas de fuite des touristes. Bien qu’en, fait, elle s’en foutait la plus part du temps… C’était surtout pour les habitants du village.

"Alors, à qui ai-je l’honneur, demoiselles? "

Invité

" Plus que tu ne le crois, ma jolie! "

Une jeune fille, aux longs cheveux noirs et aux yeux bleus, répondit à la question de Tsubasa. Elle lui ressemblait beaucoup mais elle possédait quelques petites différence, comme le visage, la taille, et surtout les yeux. La jeune fille se présenta sous le nom de Mori Ankoku. Elle faisait partie du même pensionnat que Nori et Tsubasa, mais celle-ci ne l'avais jamais vue. Mori portait un manteau bleu marine, sûrement pour cacher son uniforme.

" Alors, à qui ai-je l’honneur, demoiselles? "

" Je m'appelle Tsubasa Sakurawa, et voici mon amie Nori Nakahara... "

La jeune blonde, Nori, était figée, pertubée, véxé et génée par ce qu'il venait de se passer, elle se frotta délicatement la joue, comme si elle s'était pris une gifle, et elle s'en était pris une, mais... virtuellement...
L'homme corpulent l'avait vraiment véxer, tout ça car elel venait 'un pensionnat, au passé plus que glorieux ?? Bon daccord, à la fin il l'était plus vraiment, mais il avaient des centaines de jeunes filles de la misére. Cette homme n'avait pas “craché” sur elle, mais sur le passé du pensionnat.
C'était la deuxième fois que ça lui arrivait depuis son arrivée, deux fois en une semaine, mais aujourd'hui un accident s'était vraiment déroulé. Elle eu une sorte de vertige. Durant quelques secondes, elle était retourner en enfance, dans la misère certe, mais dans le bonheur. Ce fut bref, elle reprit ses esprit, Tsubasa, avait parler, enfin “parler”, à l'homme qui sorti en colère. Et une inconnue venait de se présenter. Tsubasa le fit une première.

“Bonjours, je qui Nori Nakahara, de la Classe C, enchantée”

Puis elle s'inclina. Regardant les dégats, elle fouilla dans cette poche un billet, pliser certe, mais valide, et le tendis à la serveuse, dont son visage était devenu écarlate durant le vertige de la jeune Nori.

" Contente de vous rencontrer donc, chères compagnes de pensionnat... Tsubasa Sakurawa et Nori Nakahara... "

Mori s'arrêta soudain de parler, interdite. Puis doucement, un des coté de sa bouche se souleva, pour bientôt être rejoint par l'autre. Et ce qui devait arriver... Arriva. La belle éclata de rire, sans retenue, pour quelque chose d'apparemment hilare, mais qu'elle était la seule à connaître. Ce n'était pas un rire de moquerie, non, mais comme quelqu'un à qui on venait de raconter une bonne blague, ce qui n'était pas le cas, pourtant. Elle s'arrêta, et respira un peu, avant de reprendre.

" Désolée... C'est que je viens de me rendre compte d'une chose... Nan, de deux en fait... Mais d'abord, je vais demander à cette charmante dame de bien vouloir me servir deux croissants et autant de pain au chocolat. "

Après avoir passé sa commande, la jeune Ankoku revint près des jeunes filles, leva un index et sourit avant de reprendre. Elle allait maintenant donner ses explications... Même si on ne lui avait rien demandé.

" Et bien, c'est assez marrant, je trouve. Toi tu t'appelle Nori, et moi Mori... Bon, je sais que ce n’est pas hilarant mais quand je m'en suis rendu compte, j'ai trouvé ça assez commode. Excuse moi. "

Elle leva ensuite le majeur pour accompagner son index... Ainsi le chiffre deux était formé par ses doigts. Elle repris une fois encore.

" Et en deuxième, je vous connais. Enfin, je veux dire que j'ai déjà entendu vos noms... Dortoir numéro deux, chambre un, si je ne me trompe? Parce que si c'est bon, on est copine de chambre! "

Invité

" Et en deuxième, je vous connais. Enfin, je veux dire que j'ai déjà entendu vos noms... Dortoir numéro deux, chambre un, si je ne me trompe? Parce que si c'est bon, on est copine de chambre! "

" Copine de chambre ? C'est super ! "

Tsubasa souria à Mori. Puis elle leva les yeux vers le ciel et remarqua que le soleil se couchait.

" On ferait mieux de rentrer, il commence à ce faire tard, vous ne trouvez pas ? " dit-elle en interrogeant les deux jeunes files, Mori et Nori...

Nori était dans un rêve. Une nouvelle ois elle s'évadait dans un monde sans pareil. Mais cette illusion portant partiellement réel. Trop d'évènement et une faim qui lui rongeait l'estomac, qui ne cessait de gargouillez. Puis elle s'arrêta. Mori venait d'éclater de rire.
Nori la regarda visiblement troublée. Puis tout comme le rire de Mori, elle se retrouva trés vite avec un petit pain au chocolat tout doré, et appetisant, elle croqua dedans, simplement pour... Entendre la pâte feuilleter croustillé sous ses dent blanche.
La première raison pour laquelle Mori avait rit, n'était pas très surprenant, elle l'avait elle aussi remarqué, mais n'y avait jamais fait attention, un petit sourire nerveux prix face sur son visage.
La deuxième était bien plus surprenante, mais si agréable, Mori, était maintenant une camarade de chambre, de Nori, elle avait passé une semaine sans le remarqué, elle se levait sûrement trop tard, et se couchait trop tôt, illogique.
Puis, enfin, Tsubasa, lui demanda à elle et à Mori, si elles pouvaient rentrée...

"Bonne idée, je... ne me sens pas très bien."

Mori regarda les deux jeunes fille à la proposition de Tsubasa puis, regarda au dehors avec nonchalance. Le soleil qui se couchait peu à peu commençait à dépeindre une multitude de couleurs, sortant de sa palette du soir, pour bientôt, il était sur, arriver au noir de la nuit. Le ciel serait t'il étoilé? Qu'elle lune pointerais le bout de son nez? Elles ne pourraient le savoir que lorsque la nuit serait tombée... Et il était préférable de la voir tombée du pensionnat.

La demoiselle eu un soupir. Il leur fallait rentrer. Mais bon, au moins, elle avait ce qu'elle était venue chercher! Elle allait sans aucun doute, bientôt s’empresser de les dévorer... Après les avoir fourré dans son petit sac, et avoir refermé son manteau, refermant ainsi la vision de son uniforme, elle réadressa un sourire à ses deux compagne.

" Oui! Il vaut mieux rentrer avant qu'il fasse nuit noire, tu as raison. Le soleil se couche vite, ses temps-ci. Et si Nori-chan ne se sens pas bien, il faut encore moins traîner! "

» Tsubasa Sakurawa
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